17 Janvier 2019
CRAZY BOOKS DAY EVIDENCE EDITIONS
Évidence Éditions
Collection Électrons Libres
Date de Parution : 1er semestre 2017
Les croyances n’ont pas obligatoirement une origine religieuse tout en en ayant leur source, elles prennent forme aussi avec la saturation actuelle d’informations médiatiques, bien que paradoxalement, de grandes réalisations aient été faites avec leur concours.
Croire en soi s’appuie sur l’axe que constitue une éventuelle connaissance de ses capacités intellectuelles, les croyances commencent dès que l’on s’éloigne de cet axe.
Ce livre, dont l’auteur est Jacques Cavaillon, est édité chez Évidence Éditions, Collection Électrons Libres, ANDILLY 1er semestre 2017. Il est composé de 88 pages.
Boutique : www.evidence-boutique.com
Je remercie Évidence Éditions de m’avoir permis de lire ce livre et de vous faire cette chronique littéraire.
Quatrième de couverture
Les croyances sont le talon d’Achille de l’intelligence et de l’humanisme. Elles n’ont pas obligatoirement une origine religieuse tout en ayant leur source.
NOUS NE POUVONS PAS CONTINUER.
À notre époque, dans nos sociétés occidentales, de construire notre vie sur des croyances tirées de paroles de dictateurs d’un autre temps qui n’avaient d’autres occupations que de se maintenir au pouvoir par les armes avec pour seule justification leur extraction divine.
Le bilan que je fais, n’est pas très réjouissant, car l’empire des croyances n’est pas prêt de s’effondrer. Cependant il a le mérite de se montrer à nous, comme une somme de mensonges nébuleux qui ne m’appartiennent pas et que, progressivement beaucoup de nous rejetons.
Mon point de vue
En participant au Crazy Books Day organisé par Évidence Éditions, j’espérais de tout cœur pouvoir recevoir ce livre. Je remercie grandement Évidence Éditions de m’avoir permis de le lire.
Je voulais lire ce livre qui parle des Croyances qui existent dans notre société actuelle.
A l’issue de cette lecture, on ressort plus informé sur l’origine de Nos Croyances…
L’auteur nous livre son point de vue sur Les Croyances.
Avec des mots simples et accessibles à tous, l’auteur nous fait part de son point de vue en utilisant différents angles de visions, pour développer son analyse, autour de cette notion de croyance tels que l’histoire, la sociologie et la philosophie.
Au fil de la lecture, on comprend mieux l’origine de nos croyances qui font partie de notre culture commune.
Avec cet essai, j’ai approfondi mes connaissances sur cette notion de croyances.
En tant que travailleur social, cet essai m’apporte un éclairage nouveau sur les croyances.
Pour ma part, j’ai aimé lire cet essai. Je le conseille à toutes les femmes, à tous les hommes, à tous les étudiants du domaine social et à tous les travailleurs sociaux ; à toutes les personnes sensibles à l’humain.
Bien à vous.
Mary L.
Biographie de l’auteur
(celle de l’éditeur)
Jacques Cavaillon
Je suis curieux par nature et paradoxal par ma mère.
J’aime la neige mais pas le froid,
Le soleil mais pas la chaleur,
La rapidité mais pas la vitesse,
La société mais pas l’agora,
L’aventure mais pas les risques !
Comment vivre avec ce lourd handicap qui m’oblige à composer en permanence avec les éléments ?
C’est peut-être grâce à ce mélange génétique de mes aïeux, dont j’ai hérité. Une hybridation de deux cultures millénaires dont je me sens le point nodal, sans en tirer la moindre fierté.
La rencontre improbable, en 1943, de deux lignées que tout éloignait. De mon Père, dernier héritier génétique d’une famille juive républicaine, dont les nom « Cavaillon » est déjà toute une histoire, Français depuis deux mille ans, par l’entremise des Papes avignonnais et de la révolution, avec ma Mère, dernière fille de mon Grand-Père, « Vaquier de La Baume », catholique mais non moins républicain, dont les origines nobles remonte au Moyen-âge.
Alliance paradoxale pour ma mère, au plus haut point dangereuse en 1943 pour les familles qui accueillaient les Juifs.
Pour paraphraser un humoriste dont j’ai oublié le nom, Je suis empirique par mon père, cartésien par ma mère, ce qui n’est pas simple à gérer, même pour un philosophe.
L’antagonisme qui semble inconciliables, de ces deux cultures, mais ce n’est qu’une illusion surmontable, me conforte dans l’idée, qu’à terme assez proche, l’avenir de l’humanité sera métis.